C'est le debut d'une saga, c'est la presentation du méchant de l'histoire et si ça plait, je mettrai la suite.
Un soldat sauta depuis le haut d'un étage sur le guerrier en dessous de lui la lame pointée vers le sol, le guerrier en contrebas sentit l'attaque venir et se retourna la tête tournée vers le ciel noir. Il lança son bras vers le soldat qui chutait à une vitesse sur humaine, l'épée argentée se leva et trouva le chemin du coeur du soldat. Il fut embroché en plein vol et termina son assaut sur la garde de l'arme de son assassin. Le guerrier habillé de noir se retourna et lança le corps sur deux autres soldats de l'empire qui le reçurent en pleine poitrine. Sans attendre, il se projeta vers les soldats, le premier et le plus fort eu la tête tranchée tandis que le second mourut dans la seconde suivante, transpercé par la lame qui poussa un hurlement abominable. Lorsqu'un autre soldat armé d'une hallebarde se précipita vers lui en lui lançant un coup de taille, il le dévie de son épée et fit remonter la lame le long de la hampe pour que celle ci se fige dans son estomac, au lieu de retirer sa lame, il donna un grand coup en l'air qui fit sortir l'épée par le coup et dans le même temps, il se retourna et l'épée au dessus de la tête, il l'abattit sur le crane casqué d'un fantassin le tranchant en deux. IL vit sur sa droite, débouchant d'une rue et se dirigeant vers lui un dizaine de paysan armé de fourches, de pioches, et d'autres instruments agricoles. Lorsqu'ils passèrent devant une maison à deux étages, il leva d'un geste vif sa main gantée vers le mur puis descendit vers les paysans en hurla des mots incompréhensibles et soudainement, la maison s'écroula sur les paysans. Un d'entre eux en ressortit vivant mais la saconde suivante il se retrouvait avec plus de 1 mètre d'acier dans la gorge. Il était toujours sur la place du village et des hommes en armes continuaient d'arriver... et de mourir, sans la moindre chance d'en ressortir. Très vite il y eu un départ d'incendie lorsqu'il lança une torche dans une des maison avec son réservoir d'huile. Des hurlements commençaient à sortir des maisons à cause des incendies et les familles commencèrent à sortir dans l'espoir fou de pouvoir fuir, mais c'était peine perdu et à chaque fois, ils étaient massacré sur le parvis de leur maison. Le sang coulait à flot et chaque personne était un affluent au torent maccabre. Il reçu de plein fouet l'assaut d'une dizainne de soldats. Il donna un coup d'épée qui partit de la hanche d'un d'entre eux pour remonter vers deux de ses camarades et les ouvrit proprement, tuant trois personnes en seulement un coup. Le reste du combat fut aussi court, il se contenta d'attaquer comme une bete, sans aucune stratégie, mais faisant preuve d'un génie martial plus qu'impressionnant, il brisa les épées, lances, hallebardes et autres boucliers. Il s’avança dans la direction d’un paysan qui reculait face à lui les deux bras en avant.
-S’il vous plait, ne me tuez pas, pourquoi vous faites ça, on vous a rien fait nous! S'il vous plait, ne me tuez pas! Supplia le malheureux.
-Je le fais parce que j’aime ça et tu vas mourir. Et il attaqua.
Alors qu'il tranchait en deux le visage du paysan, il se rendit compte du calme qui l'entourait désormais. Il était en pleine lumière à cause du feu qui s'étendait désormais à chacune des maisons et autour de lui, il n'y avait que des corps sans vie, il était couvert de sang, mais aucune goutte n'était à lui, seul celui de ses victimes le recouvrait. Il ne ressentait aucune fatigue, seulement un profond sentiment de rage qu'il ne pouvait plus extérioriser sur personnes. Il avait tué tout le monde et s'était assuré qu'il n'y ai aucun survivant, hommes, femmes, enfants, tout le monde était mort et le village n'était plus qu'une des pièces de l'enfer sur terre. Il ne jeta qu'un petit coup d'oeil derrière lui et il allait partir vers le nord quand il entendit derrière lui les bruits caractéristiques des sabots de chevaux arrivant au galop sur un chemin. Il se retourna et vit 5 cavaliers lourdement armés arriver vers lui sur des chevaux que les caparaçons rendaient surnaturelle à cause des reflets des flammes. Ils se tenaient tous en retrait avec une lance de cavalerie, une longue épée à la ceinture, un bouclier et une armure de plaque complète. Celui du milieu dont il ne voyait pas le visage s'adressa à lui.
-Erial Tenerr, vous êtes reconnu coupable de crime commit contre l'espèce humaine. En ma qualité de commandant des armées, je suis accrédité pour vous infliger la sanction qui vous est donné, vous êtes dépossédé de vos terres, de vos titres et de toute vos armes. Les crimes qui vous sont reprochés sont sanctionnés par la peine de mort et j'applique aujourd'hui le jugement. Recita le commandant pendant que ses chevaliers ne cessaient de jeter des regards au alentour.
-Au nom de tout ce qui vie, comment peut on faire ça. Murmura un des chevaliers en regardant le parvis d'une maison ou le cadavre d'une petite fille gisait, figé dans son dernier geste, elle avait ses deux bras autour de son ventre, retenant ses tripes, son visage figé dans une expression de douleur et de terreur horrible. A coté sa mère était divisé en deux partie, ses pieds regardants des yeux figés d'effroi.
-Vous venez de signer votre arrêt de mort, vous n'êtes pas celui qui pourra m'arreter commandant Tyriel, vous quatre qui êtes à son service, vous qui avez jurer de me stopper, vous avez fais la plus grosse et la dernière erreur de votre vie. La voix qui sortit de sa bouche était d'un calme effrayant, il tenait sa large épée dans la main droite tendit qu'il tendait sa main gauche vers le sol qui commença à trembler. D'abord très doucement, puis de plus en plus fort, les chevaux se ruaient et les chevaliers avaient le plus grand mal à les retenir malgré leur poigne de fer.
-Croyez vous vraiment pouvoir combattre et vaincre? Pauvre fou.
-Espece de sale batard, immonde salopard, tu vas payer pour ce qui tu as fais! Hurla un des chevaliers avant de baisser sa lance d'arçon et de charger Erial suivit par tout les autres sauf le commandant,
-Tes insultes m'importent peu. Lui répondit simplement le guerrier noir. Contente toi de mourir.
Il prit son épée des deux mains et couru vers le chevalier, lorsqu'il arriva à une main de la lance, il sauta en se donnant une poussé vers l'avant. Il sauta tellement haut qu'il arriva au même niveau que le cavalier et lui enfonça son épée dans le haut du torse dans un effroyable bruit de métal broyé, il ratérit sur le cou du cheval ou il prit une nouvelle impulsion qui le fit voler au dessus du cadavre toujours sur le cheval ainsi, il libéra son épée en la faisant traverser le corps sans vie, le tranchant en deux. Il arriva derrière et les chevaliers restant s'arrétèrent pour se tourner et lorsqu'ils virent ce qu'avait fait leur ennemi, ils ne purent s'empecher de ressentir un léger frisson sur leur colonne vertébrale. Après cette démonstration effrayante, ils ne furent qu'à moitié surpris de voir Erial les charger. Le premier coup qu'il porta fut un coup de haut en bas, que le chevalier eu juste le temps de parer de son épée, il n'avait cependant pas prévu le coup qui lui arracha une partie de son flanc droit. Il n'avait même pas vu la lame. Erial lui entendit le léger sifflement dans l'air et y lança son épée en consequence, interceptant celle d'un autre chevalier qui lui arrivait dessus au galop. Tout en parant, il se jeta sur le cheval ce qui lui fit faire une embardée et qui désarçonna son cavalier déjà déséquilibré. Alors qu'il tombait toujours de cheval, il lui lança un grand coup d'épée en visant la tête, le décapitant net. Le dernier des quatre chevalier descendit de cheval et sortit son épée tout en lachant son bouclier. Il enleva son casque pour mieux voir, mis son épée en face de lui puis l'abaissa en signe de duel.
-Tu vas mourir pour ce que tu as fais et maintenant! Hurla le chevalier.
-Un jour peut etre, mais tu ne sera pas la pour le voir... Et il chargea le chevalier en donna un grand coup de taille que le chevalier para. Tout de suite après il lui lança un coup d'épée vers le tête paré lui aussi, mais a la difference, il fut précédé d'un coup de genou dans le ventre, pliant en deux le chevalier qui put voir l'arme argentée lui percer le ventre et la seul chose qui sortit de sa bouche fut un long filet de sang qui s'étala sur toute la lame. Laissant le chevalier agoniser à ses pieds, Erial se montra devant le commandant d'in calme insolent.
-C'est a vous maintenant de mourir commandant.
-Tu penses vraiment pouvoir t’opposer à moi ? Tu mourra et je vivrai, je vivrai et je vengerai la mort de mes hommes qui m’ont ser…
-Epargnez moi votre blabla s’il vous plait, il est inutile de me faire une scene, il n’y a personne pour nous voir et personne pour ecouter vos paroles, vous mourrez dans l’ignorance la plus totale. Sur ces mots, le guerrier s’élança à une vitesse surnaturelle sur son adversaire, lame droite. Celui ci para la lame de justesse et lorsqu’il essaya de feinter Erial, il fut repousser par un coup grossier mais terriblement éfficace qui détourna sa lame. Il eu à peine le temps relever son épée pour eviter d’être tranché en deux. Le commandant utilisait une arme gigantesque mais très fine dont les runes gravées dessus indiqué une presence magique à l’interieur de la lame tout comme dans celle de Erial. Un combat des plus féroces commença à s’engager, le rugissement des lames lorsque les entités les constituaient se rencontraient. Mais le commandant lança un coup de bas en haut d’une puissance impressionnante et lorsque Erial contra l’attaque, son épée se brisa en plusieurs morceaux et ne se démontant pas, pendant que l’officier avait encore l’épée au dessus de sa tête à cause de la force du coup, il se jeta sur lui et lui attrapa le coup de ses deux mains, le souleva du sol avec son impressionnante force et commença à serrer.
-Tu… ne gagnera…pas… Lui lança le commandant en essayant de desserrer les mains de son assassin juste avant qu’un écoeurant bruit de vertebres brisés se fit entendre.
-Je vous avais pourtant prevenu commandant. Murmura Erial en lachant le cadavre qui s’écroula par terre sans un bruit. Puis il se dirigea vers l’arme du guerrier et la pris dans ses mains.
-Comme ça tu t’appels Ablatar, la mort qui rode. Tu feras très bien l’affaire je crois.
Sans un regard en arrière, il sortit du village après avoir vérifié que tout bruler.